Description
«Il était une fois un gentil chevalier et une gente pucelle…».
Ce roman pourrait ainsi commencer comme tout conte de fées, mais que le lecteur ne s’y trompe pas : Le Chevalier Doré et la pucelle surnommée Cœur d’Acier est bien un conte initiatique dont Gérard de Sorval a su parfaitement, dans sa préface, dévoiler les clefs qui en permettent une approche traditionnelle.
Ce n’est qu’après bien des épreuves et des errances que les deux amants seront menés, avec l’aide de la déesse Vénus, du château de l’Étrange Marche à la chambre nuptiale du Roi d’Écosse, et qu’ils se retrouveront, et retrouveront, par le fait même, leur Soi immortel.
Joutes, tournois, chevauchées, forêts profondes et mystérieuses, enchantements et songes, mais aussi épreuves, mort à soi-même, recouvrement de l’état originel et délivrance finale, il s’agit, à l’évidence, de la description d’une initiation chevaleresque pour le Chevalier Doré, et d’une initiation féminine de nature chevaleresque pour la pucelle surnommée Cœur d’Acier, qui nous viennent d’un Moyen Âge qui restera toujours notre part de rêve.
176 p.







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